mercredi 13 mars 2013

Descente aux enfers...


Eric VOYARD, "Harrison" de son nom c'artiste, suite à la vie misérable et au calvaire qu'il endure depuis des années en raison des jugements frelatés et à l’indigence de certains magistrats en Guyane, est hospitalisé depuis plus de 25 jours aux soins intensifs Néphrologie de l'hôpital de Montpellier. État préoccupant, voire très grave. Je lui ai posé la question ; "sur une échelle de 1 à 10, tu souffres combien ?". Sa réponse ? "20" ! Je n'ai pas été surpris, je l'entendais hurler de douleur.

S'il souffrait considérablement au moment de son entrée. Il avait aussi d'énormes difficultés à parler, des croûtes et du sang dans la bouche, la langue comme un galet. Je lui posais des questions auxquelles il me répondait par oui ou par non afin d'éviter toute souffrance inutile. Il vivait dans la terreur des manipulations par les infirmières et les médecins qui lui provoquaient des douleurs insoutenables. Ça le terrifiait.

Aujourd'hui, plus de 20 jours plus tard, il s'alimente de nouveau, il a retrouvé tous ses esprits, très entouré par sa famille et ses amis, son évolution et sa récupération sont impressionnantes. Le moral est au beau fixe même si tout n'est pas encore tout rose. Son entourage est impressionné par sa remontée phénoménale en 3 ou 4 jours des derniers de cette fin de mars. Son ami G. me confiait : "Incroyable, il est magnifique, il est tout rose, il est redevenu beau, il n'a quasiment plus de cernes sous les yeux, il a entièrement dégonflé, il a minci..."

Cependant, à ce jour, tout pronostique est réservé... Chaque jour apporte sa cohorte d'examens, d'analyses et de souffrances. Les médecins ne sont toujours pas fixés sur les raisons de son état.

Mardi 2 avril : 6e jour sans dialyse, lui qui en était à une dialyse tous les 2 jours ! La machine repartirait-elle ? Le vieux diesel s'ébroue ! Le ciel noir se déchirerait-il enfin ?...

Je souhaite vraiment qu’Éric survive à ce difficile passage et que ce ne soit bientôt qu'un très mauvais souvenir, car dans la pire des hypothèses je prendrais sa relève et ne laisserai aucun répit à tous ceux qui auront été responsables de sa descente aux enfers. Je leur promets les pires des geôles et des déshonneurs. Je profiterai alors de la mort de mon frère afin de créer un scandale sans communes mesures avec ce qu'ils ont jamais connu.

Comment en est-il arrivé là.

Ou, les raisons de sa longue descente aux enfers...

dimanche 10 février 2013

J'ATTENDS

Si vous voulez me connaitre 
Je vous suggère  d'aller visiter mon blog Artistique... 

Puis vous vous revenez à injustice flagrante. 

dimanche 29 mai 2011

N° 1_MON HISTOIRE ET LES VOYOUS DE LA GUYANE FRANÇAISE

Messieurs Dames Bonjour. 

Ceci est mon histoire de 13 ans de combats contre les Voyous de la Guyane et de la connivence de nos élus et Magistrats de Guyane comme en France métropolitaine.  

This is my history (story) and 13 years old of fights Witt the hooligans of "France Guyane" and France métropole. 

Que vous soyez victime de flagrantes injustices ou que vous soyez étudiants en DROIT, 
Voici les virtuoses de l'escroquerie au cœur de notre Justice du service policier à la gendarmerie Nationale !  
 
AUX DERNIÈRES NOUVELLES, 
 !
Mon affaire (Eric VOYARD contre Centre Montjoly Danse) au tribunal de Cayenne devrait bientôt se terminer.  
A ce jour 26/12/2012 
j'attends toujours !...h

Dans ma Douzième année de combat, à quelle "magie Macaque" il faut encore me soumettre avant que je n’obtienne définitivement gain de  cause  pour m'être fait licencier à coups de poings sur la tête, puis ruiner ma fin de vie par mes Employeurs les Gendarmes les Avocats et les Juges !... 
. RÉSUMÉ DANS LES GRANDES LIGNES. 
Une sordide histoire ou l'artiste Chorégraphe est molesté par ses patrons qui ne seront jamais pénalisés par la Justice. 13 ans plus tard la justice étouffe toujours cette affaire, et mon combat n'est pas fini ! 


1981. Mon premier séjour en Guyane.
Le début du traquenard ! 


Après un voyage à cheval au Brésil, les caisses sont à zéro, il faut que je trouve du travail. Nous décidons de nous rapatrier en Guyane française département d'avenir... Arrivé dans ce si beau pays, Je sillonne la ville de Cayenne et fini par trouver une école de danse ou je tente ma chance pour un emploi de prof de danse.
À ma grande surprise, je découvre que le professeur est un de mes amis de l'époque des « Folies Bergères ». "Jean-Pierre CORNU".

Après l’émotion des retrouvailles, Jean-Pierre et son épouse m'annoncent qu'ils veulent quitter la Guyane. C'est ainsi que Jean-Pierre me présente Marie Hélène MARSOLLE née GASSIOT, qui est une de ses élèves "femme de Béké" la future présidente du «Centre GUYANAIS de la Danse». 
Quand Jean Pierre est parti je deviens le prof de danse et Marie Hélène Marsolle la présidente de l'association. Nous faisions un binôme parfait. 
Le Centre Guyanais de la Danse 
2, rue des remparts 
au vieux port de Cayenne. 
Madame MARSOLLE achète l'association pour 50.000 francs. Le 1er septembre 1982 je deviens officiellement l'employé de cet établissement. Prof de danse classique, de jazz, de claquettes, danse de maintien, danse de salon, baby danse, chorégraphe, montage des bandes son, décorateur et costumier. 
La Présidente décide d'ouvrir une annexe à KOUROU. "Ville du centre spatial" À la fin de la première année ses deux écoles cumulent plus de 300 élèves, alors qu'au début de l'année il n'y en avait que 80. La présidente engrange les bénéfices sans, selon elle, ne jamais pouvoir augmenter mon salaire à cause des dépenses et charges sociales trop élevées.
Cinq ans plus tard : Comme mon ami Jean-Pierre, je déprimes. Je pense que je ne supporte plus l'enseignement. Je décide donc de retourner sur la métropole et de repartir dans le spectacle.

Ce n'est qu'en 2002, à mon deuxième séjour en Guyane, qu'après mon licenciement du Centre Montjoly Danse j'ai compris comment madame Marie Hélène GASSIOT ex MARSOLLE  manigançait depuis 22 ans ! 

Ce blog dénonce : les faux, usages de faux, faux en écritures, faux en écritures administratives, usurpation d'identités. 
       Mes avocats comme ceux de la partie adverse tous véreux, au même titre que les juges et les trois procureurs de la république qui ne se cachent même pas pour magouiller ! 

En effet ! Madame GASSIOT (ex) Marsolle a travaillée insidieusement à la détérioration du moral de ses profs à chaque fois qu'elle voulait s'en débarrasser. A chacun d'eux elle employait une méthode nouvelle pour arriver à ses fins. Ainsi elle peut profiter après nos départs, d'une école qui lui rapporte chaque année des sommes conséquentes
Elle engage alors des professeurs à qui elle fait payer le loyer de leur logement, une chambre de 5 m sur 5, alors qu’ils ne touchent qu’une rémunération mensuelle dérisoire et scandaleuse. Chacun des professeurs ou animateurs sont repartis quasiment l'année suivante avec en prime, une grande dépression sans avoir cumulé un point retraite. 
A mon deuxième séjour, de 1998 à 2002je ne peux pas imaginer que je reviens en Guyane pour me jeter dans la gueule d’une monstrueuse truanderie et chaîne Mafieuse ! 

Tout ne sera que mensonge et escroquerie. 

IL FAUT EN FAIRE DES CONTORSIONS
POUR DÉCOUVRIR LA VÉRITÉ !
Eric HARRISON CONTORSIONNISTE 1985 

Quatre ans plus tard je découvre 
le pot aux roses.
Mes employeurs ne sont pas déclaré à la préfecture, il manque le page n°2 dans les statuts et l'école de danse est inconnu au près des caisses de retraite La fausse Présidente et le faux trésorier (qui est son amant chez qui elle vie) tapent allègrement dans la caisse, volent leurs employées, les parents d'élèves ainsi que l'État, et cela depuis 22 ans en toute impunité ! 


La dite Présidente vie sous huit différentes identités au près des administrations. Sur les contrats, au près des médiats, publicités, ainsi qu'au près des tribunaux.  

Sur trois contrats je suis engagé par Marie Hélène Beaudouin Lafon: nom de son amant le trésorier, 
sur deux autres contrats je suis engagé par Marie Hélène Marsolle : Nom de son ex époux divorcée depuis 1995.     Je suis Licencié par 
Marie Hélène Gassiot, Marsolle


Devenant gênant par mes découvertes, et ne pouvant pas me licencier car je n'ai jamais commis de fautes, la Présidente de l'association décide de me faire molester par le dit trésorier (Son Amant) puis elle m'accuse de tentative d'homicide volontaire contre ce dernier.
La Présidente me licencie 
en toute illégalité sans assemblée générale etc
Du jour au lendemain je perds mon travail et mon logement. Je deviens SDF sans aucun subside.

Trois Préfets, trois Procureursdes greffiers, des  secrétaires au tribunal, des juges, des avocats, et tous les fonctionnaires des administrations dont les associations loi 1901 doivent « se plier » me tournent le dos ainsi que les dames de la culture Guyanaise, et du monde de la danse Guyanais.

Quelles sont les raisons de tant de protections de la part des dirigeants de ce département pour mes employeurs (ex) enseignants de l'éducation nationale ? 

Je me trouve aujourd’hui dans une situation catastrophique tant au niveau physique, moral que financier. Âgé de 64 ans je ne peux plus physiquement exercer mon métier de chorégraphe, de professeur de danse ou de décorateur.
À la suite de ce litige, je me suis progressivement trouvé sans aucune source de revenus et dans l’impossibilité de retourner en France métropolitaine. 
Voici 10 ans que je subis les tortures psychologiques et physiques de la part de certains Guyanais, Gendarmes, Juges, Avocats, Procureurs et Préfets de ce département, ainsi que de la part des membres du gouvernement sous CHIRAC, SARKOZY et aujourd'hui avec Hollande et Christiane Taubira Garde des Sceaux la valse continue... 
Ce blog raconte cette histoire en vous donnant les pièces justificatives de tout ce que j'avance 
A part peut-être quelques erreurs 
involontaires de ma part. 
Si elles sont prouvées, je veillerais à rectifier le tir et vous demanderez de bien vouloir m'en excuser. 

Dans les « Grandes Dames »
 de la danse, je cites :


Madame Jeanine VERIN, Présidente depuis 30 ans de son association de danse ADACLAM et Présidente de la Ligue de danse.
Puis Madame Marie-Claude PARFAIT Notaire de renommée sur la place de Guyane et qui fut aussi « Présidente de la Ligue de danse » pendant de nombreuses années et ce en faisant partie d'autres associations.
Mes employeurs Marie Hélène GASSIOT (ex) MARSOLLE qui fut la Fausse Présidente » pendant 22 ans de ses deux associations de danse, ainsi qu'elle fut vice-présidente de la Ligue de danse. Elle est aussi une grande amie de Marie-Claude Parfait depuis plus de trente ans. Elles travaillaient en cœur  pour un grand nombre de manifestations pour « la ligue de danse ». 
Monsieur Jean-Jaques BEAUDOUIN LAFON 
Faux Trésorier du Centre Montjoly Danse puisqu'il ne parait pas dans les statuts à la Préfecture de Cayenne . Amant de la Présidente GASSIOT. Ils vivent sous le même toit au chemin Constant Chlore villa le Bateau ivre. Les assemblées Générales devaient se faire sous la couette, car en 22 ans elles n'ont jamais existé au sein de leurs associations. 
Concernant les hommes 
de la danse 

Monsieur Guy FALEDAM qui a été pendant plus de 20 ans Président de son association : Modern-jazz.
Monsieur Jean-Raymond PASSARD, président pendant plus de 20 ans de sa compagnie de danse africaine: ALINGA.

Ces Messieurs (eux aussi) sont alors en place tournante à la présidence de la Ligue de danse.
Aucune de ces personnes ne m'ont tendu la main le jour ou je me suis trouvé SDF, sans emploi et dans l’impossibilité de quitter la Guyane. Le comportement de ces gens-là est indigne de notre profession. Pourtant toutes ces personnes me connaissent connaissaient mon travail depuis mon premier séjour en Guyane en juin 1981.
Le Centre Montjoly Danse 
à Rémire Montjoly en Guyane. 
Actuellement devenu 

«la Plantation des Arts».
L'établissement où je dispensais 
mes cours de danse au premier étage. la Présidente m'avait "offert" dans ce bâtiment Une chambre de 4 m sur 5 en guise de Logement de Fonction...
Après quatre années de quasi-asservissement, le 2 juillet 2002 au matin, madame GASSIOT, MARSOLLE, présidente de l'association, ouvre la porte de l'établissement avec sa clé, ou la confie à son amant (trésorier de l'association), Monsieur Jean-Jacques BEAUDOUIN LAFON qui me roue de coups.
Raison de cette agression : J'avais découvert que la Présidente pour qui j'avais déjà travaillé dans un premier séjour en Guyane de 1982 à 1987, et de 1998 à 2002 ne m'avait jamais déclarée.
Pendant 22 ans elle a grugée ses professeurs, les parents d'élèves, ainsi que l'État. Pour couronner le tout, elle encaissait les subventions des collectivités, celles du CNASEA, mais aussi de la Jeunesse et des Sportsles dons et sponsors d'entreprises privées ainsi que les recettes produites par les très nombreux spectacles qu'elle nous imposait.
Juillet 2002licenciement abusif et crapuleux. (Je suis molesté par mes employeurs, puis jeté dans la rue comme un malpropre). À cette occasion, quarante ans d'archives et de bulletins de salaire m'ont été dérobés par ces derniers.


Concernant les employeurs malveillants
seuls les bulletins de salaire font preuves que l'employé a bien payé les charges. 


10 ans de combats 
auprès des Tribunaux (au pénal comme au Prud'homme) afin d'obtenir Réparation financière. (Entre autres la restitution de mes archives et bulletins de salaire). Sans ces bulletins il m'est absolument impossible de faire valoir mes pleins droits à la retraite. 
La Gendarmerie a refusée de prendre ma plainte quand j'ai découverts que mes employeurs m'avaient volés 43 ans de documents administratifs
Aujourd'hui c'est fini je ne pourrais bénéficier que du minimum retraite. 
Les Tribunaux sont restés impassibles devant mes nombreuses suppliques et requêtes. Bien au contraire, ils ont dépensé une énergie considérable depuis 2002 pour étouffer mes affaires.
Depuis neuf ans j'attends réparation par la décision du Prud'homme.
Depuis, mon dossier est passé
en voie de garage ! 
c'est-à-dire : "En APPEL" 
Dans le monde du silence ! 


l'administration la première coupable et complice est la Gendarmerie nationale. Trois Colonels ferment les yeux et leurs grandes bouches pour protéger les gendarmes qui ont mis une fausse adresse sur mon dépôt de plainte et m'ont classé dans les auteurs des faits au lieu d'être la victime. Depuis 10 ans la gendarmerie, les ministres de la défense dont dépendaient  la gendarmerie et les ministres de l'intérieurs à compter ou SARKOZY était déjà Ministre, jouent les AUTRUCHES, c'est OMERTA.  
Ces 10 années de combat ont provoqué chez moi de graves dégradations physiques :
Dépression nerveuse longue et profonde en raison de ces démarches et luttes incessantes. Perte du sommeil, rétention d’eau, prise de poids considérable, problèmes articulaires catastrophique et terriblement douloureux. Addiction à l'alcool durant plusieurs années. Foie, pancréas,  dérèglement su système digestif; intestins lourdement atteints, perte de toutes envies de créativités. Durant cette période, j'ai eu, par instinct de conservation, le réflexe de séparer les lieux de stockage de mon fusil de chasse et des cartouches de manière à freiner les pulsions suicidaires qui me hantaient jour et nuit.
10 ans de combats stériles ainsi que les séquelles de l’agression n’ont fait qu’aggraver mon état de santé.
Actuellement je me trouve en fin de vie active dans une situation physique, morale et financière catastrophique.
Les gens nommés dans ce blog sont des personnes publiques à90% qui passent dans la presse écrite et auprès des TV guyanaises.
Quant aux autres : Ce sont des personnes qui ont délibérément maintenus  leurs faux témoignages ou délivré des documents administratifs non conformes à la loi française. Documents qui ont été présentés dans des audiences publiques dans les Tribunaux de Cayenne par l'avocat de la partie adverse Maître Jean-Yves MARCAULT DEROUARD. Aujourd'hui devenu Bâtonnier à Cayenne 
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 Mon Histoire illustrée. 
  J'étais ainsi en 2002.
Me voici «trois ans» après
mon licenciement du 2 juillet 2002.
 
PARLONS SUCCINCTEMENT 
DE MA VIE ! 

Né le 14 juillet 1947 à 5 heures du matin dans les basses Pyrénées, troisième d'une famille de six enfants, cancer ascendant cancer j'embrasse à l'âge de six ans le métier de danseur classique. 

J'ai commencé à travailler à 14 ans dans les rues de Toulouse en tant que photographe ambulant. Été comme hiver j’ai battu le pavé afin de m'offrir mes études de danse classique.


Eric VOYARD dit HARRISON au conservatoire.
Ma première saison comme danseur stagiaire au théâtre du Capitole de Toulouse
1961 : Danseur stagiaire au théâtre du Capitole à TOULOUSE. Rémunéré au tir-boulette et aucun point retraite déclaré par cette administration. Sous la présidence du Général De Gaule les stagiaires n'avaient aucun droit. Du fait qu'ils étaient mineurs, ils dépendaient de la sécurité sociale de leurs parents mais pas de points retraite inscrits sur nos comptes. Pourtant nous faisions les mêmes heures de travail que les danseurs du Théâtre.
1964 : Je pars pour un contrat à l’opéra de TOULON. Je fais une saison peu instructive mais destructrice pour ma santé. Le nombre d'heures de travail dépassait toute imagination. Nous devions assurer entre deux à trois opérettes par semaine plus les nombreux opéras et le gala de danse de l'opéra.
Puis j'ai dansé dans les opérettes avec Annie CORDY, BOURVIL, Jean RICHARD, George GUETARY, Annie DUPARC, Luis MARIANO. J'ai fini par faire les tournées du sud de la France avec ces artistes.
Bon souvenir dans l'opérette "houa houa
avec Annie CORDY et BOURVIL. 
 Les opérettes avec : 
Jean Richard, George Guettari, Annie Duparc, Luis Mariano. J'ai fini par faire les tournées 
du sud de la France avec ces artistes. 
Voyant ma santé dépérir en raison d’un travail trop intensif et une rémunération insuffisante en rapport des efforts donnés, je quitte la danse classique et me tourne vers les bateaux de croisière en « trio de danseur de jazz ». Supers voyages au Brésil et en Argentine.
Mai 1968 : Je monte en Haute-Savoie voir ma mère. Elle m'offre trois mois de cours de patinage artistique, puis je me présente à la compagnie HOLIDAY ON ICE. Je suis pris d'office.
Une nouvelle vie commence !
Le contrat de New York ne me parvient pas à cause des grèves. En attendant des jours meilleurs je pars en Italie avec 500 francs en poche et deviens artiste peintre. J'ai commencé par gribouiller à la craie sur les trottoirs.
Un an plus tard je louais un appartement à ROME à côté du Colisée et exposais en galerie. Mon frère aîné Pierre est venu travailler avec moi.Une deuxième nouvelle vie commence !
Un an 1/2 plus tard, je reçois mon contrat 
de HOLIDAY ON ICE.
J'abandonne tout ce que j'avais construit et pars pour Nice honorer ce contrat par respect pour ma mère qui s’était privée pour m'offrir les cours de patinage.
J’ai ainsi la chance de voyager en Europe ainsi que dans toute l'Europe de l'est. C'est à HOLIDAY que j'ai perfectionné mon dessin pour les costumes et les décors.
Première esquisse 
d'un décor en 1970.
1971 : Après 2 ans 1/2 de contrat avec HOLIDAY, je pars pour PARIS. J'entre aux théâtre des "Folies Bergère" dans la revue de Michel GYARMATHY. 
Je garderais un souvenir inoubliable à travailler aux cotés de la meneuse de revue, 
Mademoiselle Liliane MONTEVECCHI. 
Je double mes soirées en multiples passages dans d'autres cabarets ou boîtes de nuit. Dans la journée je danse dans l'émission « Télé Midi » sur la 1ère chaîne.
TV. Eric Harrison 
avec Sheila WHITE
Je fais tous les castings pour figuration et danse dans les tournages de film.
Folies Bergère avec DALIDA 
Derrière Dalida ma pomme. 
1974 : La vie parisienne ne me convient pas. Pas un seul instant de libre, ni de lieux de répétitions dans des prix raisonnables et encore moins de subventions pour aider les artistes pour créer quelque chose de sérieux. 
Derrière Dalida, ma pomme, puis Michel Rozes ?" 
Le quatrième danseur Alain TYLBOR à ce jour décédé. 
Je quitte Paris pour Aix en Provence. Avec un ami danseur, nous enseignons la danse dans une école privée et au conservatoire de Manosque. Nous faisons des chorégraphies pour différents spectacles, pour la télévision « FR 3 Marseille », etc.
1978 : Ma soeur m'invite à passer 15 jours au Gabon. Manque de chance une fois arrivé à Libreville, elle m'annonce qu'il y a un problème pour le retour sur la France. Ce problème ne pouvant pas être réglé, je suis bloqué à Libreville. La rentrée scolaire se faisant, je rate mon entrée au conservatoire de Manosque.
Coincé à LIBREVILLE, je vais dans la seule boîte de nuit qui fait cabaret (Le PAPAGAYO) et demande de passer une audition. Deux jours plus tard je suis sur les planches.
Le Gabon n'étant pas un pays d'avenir pour le spectacle, je pars pour Abidjan (Côte d'Ivoire). J'y vais au culot ! En une semaine je monte un « One-Man-Show » que je présente au patron. Deux jours plus tard le temps de faire la mise en place du spectacle, je passe au « Treich-Can-Can ». 
L'année d'après je suis le directeur artistique, le chorégraphe tout en continuant mon "one man show".
Je monte une société de publicité Le « G.E Harrison » avec un ami, mais ça ne sera pas vraiment une réussite.
J’abandonne le cabaret et l'entreprise pour devenir directeur de la boîte de nuit à l’hôtel international « L'ARMATAN » à Bouaké (deuxième ville de la Côte d'Ivoire).
De 2.000 francs CFA de recette mensuelle que réalisait l'établissement, je la monte à 50.000 francs CFA. Le Directeur monsieur Morin est ravi ! Tout roule pour le mieux quand !...
Je découvre que les barmen et serveurs volent l'établissement en infiltrant leurs propres bouteilles d'alcool ! J'en fais part au délégué syndical qui finit par ne pas apprécier que je puisse ainsi dénoncer « d'honnêtes employés ivoiriens ».
Fatigué de travailler dans une mauvaise ambiance, je donne ma démission. (J’apprendrai plus tard que le directeur a fini par fermer la boîte de nuit à cause de mauvaises recettes...)
Fin 1979 : N'ayant jamais pris de vacances depuis 1964 et plutôt dépressif, je décide de tout quitter. J'abandonne tout ce que j'avais et pars pour le Brésil avec 10.000 francs en poche et 8 kg de bagage.
En attendant qu'un ami d'Abidjan vienne me rejoindre pour entreprendre un long périple à cheval, je travaille dans trois cabarets à « Rio de Janeiro ».
Trois mois plus tard mon ami arrive enfin et nous partons pour ce voyage à travers « le Brésil ». Nous faisons 3000 km à cheval. 
Le reste en bus, en Tapouille brésilienne, en pirogue puis en petit avion. Il m'est impossible d'évaluer le nombre de kilomètres total vu les nombreux détours que nous avons faits. Nous avons passé le carnaval à San Salvador et avons terminé notre périple à « Cayenne en Guyane française ».
Dans la page N° 41  vous trouverez, 
MES PERTES EN GUYANE ET 
LE DOMAINE DES DIEUX. 
Vous ne serez pas déçu du voyage. 

Pour vous exprimer vous pouvez laisser un commentaire, Ou vous m'écrivez à,  
bronchite.chronique@orange.fr 
MERCI. 
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